Last Updated on 20/09/2024 by Jean-Paul RIVES
Arrêtez d'être perfectionniste, gagnez du temps et réussissez dans vos projets.
J’ai vu récemment une citation qui disait :
« le perfectionnisme est le standard le plus bas que vous pouvez avoir pour vous-même ».
J’ai analysé des biographies de personnalités ultras performantes, des gens qui ont réalisé des choses incroyables.
Et un des traits particuliers que j’ai relevé, c’est qu’ils ne sont jamais dans une exigence de perfectionnisme.
Cependant, j’ai l’impression d’être née perfectionniste.
Pendant des années, j’avais peur de mal faire, j’avais besoin de passer du temps à peaufiner jusqu’aux moindres détails.
Je voulais tout contrôler.
En effet, je considérais que mon estime en moi-même et ma réussite dépendaient exclusivement de mes efforts et de la qualité de mon travail.
La moindre remarque sur mon travail me mettait dans tous mes états.
Accepter un feed-back constructif ?
Surtout pas, jamais de la vie !
En cela, comme beaucoup de perfectionnistes, je manquais de confiance en moi.
Dans cet article, je vous explique le pourquoi, les dangers et les conséquences du perfectionnisme toxique. Et surtout, je vous partage deux stratégies hyper puissantes pour arrêter d’être perfectionniste.
Table des matières
Mais tout d’abord, c’est quoi être perfectionniste ?
Face à la pression de notre époque, atteindre le parfait et l’excellence a été portée au niveau le plus haut.
De nos jours, dans notre société de plus en plus égotiste, aspirer à la perfection semble être une caractéristique commune que beaucoup d’individus essaient d’adopter.
Le perfectionnisme toxique c’est quand on cherche sans cesse l’excellence et que l’on a jamais l’impression d’en faire assez.
Pour atteindre la perfection, l’individu qui possède ce trait s’impose des objectifs très élevés afin de parvenir à sa satisfaction personnelle ou professionnelle.
Les perfectionnistes ont tendance à se voir comme étant responsables des actions qu’ils entreprennent et à être incapables d’accepter les erreurs.
Donc, ils vont exercer beaucoup de pression et être exigeant envers eux-mêmes pour réussir et atteindre ce qu’ils considèrent être une performance optimale.
Mais d’où ça vient tout cela ?
Pourquoi est-on perfectionniste ?
C’est ce qu’on va analyser maintenant.
Les causes du perfectionnisme toxique.
La principale cause du perfectionnisme toxique est l’influence des autres, notamment des parents et des enseignants.
En effet, le fait de penser que l’estime de soi et la réussite dépendent du regard des autres va vous entrainer dans un cercle vicieux qui va impliquer de plus en plus d’efforts et être de plus en plus maniaque sur la qualité de votre travail.
Les messages perçus au cours de l’enfance peuvent inciter les individus à être perfectionniste et à rejeter toute pensée opposée.
« Ola ! tu n’as eu que 12 en Math ! » – « C’est nul ! »
Personnellement, c’est l’anxiété sociale, et l’attente par rapport au regard des autres qui ont contribué au développement de mon attitude perfectionniste.
Au lycée, j’avais un professeur de français catalan (Je n’ai rien contre les Catalans, mais lui, il était aussi con qu’un balai sans poils).
Ce prof m’avait pris en grippe, car je n’arrivais pas à réciter par cœur un texte que l’on devait apprendre. Ainsi chaque semaine, avec délectation, il me faisait passer au tableau pour la récitation.
J’ai une mémoire lamentable et j’avais beau étudier mon texte la veille, quand je récitais, au bout de quelques phrases je paumais mes repères, je bafouillais puis je m’arrêtais complètement perdu.
Monsieur Condubalai avec un sourire jouissif arrêtait le désastre avec la phrase fatidique.
« Monsieur Rives, vous êtes nul ! ce sera un zéro pointé ! »
Pour moi, c’était l’humiliation devant tous mes camarades de classe.
Le soir, j’en pleurais de rage, et je pense que cette émotion et cette expérience a influencé le développement de mon perfectionnisme.
En effet, une inquiétude excessive et la crainte de décevoir vont entraîner une peur des imperfections et de l’échec et donc favoriser le perfectionnisme toxique.
Une autre cause du besoin de perfection, c’est le sentiment de culpabilité.
En effet, le perfectionniste n’en fait jamais assez à ses yeux, il s’angoisse de ne pas effectuer assez d’efforts, il ressent perpétuellement une insatisfaction et il se sent coupable.
Enfin, une autre cause possible, c’est la peur de vous faire juger que l’on appelle aussi le syndrome de l’imposteur.
Car si vous avez cette inquiétude de ne pas être à la hauteur, la réaction « logique » consiste à donner un service parfait ou à produire quelque chose à la perfection.
De cette manière, pas de critiques, pas d’échecs.
Toutefois, même si je pense qu’en règle générale il est préférable d’éviter de toujours vouloir aller vers la perfection, ce trait de caractère possède certains avantages.
Examinons cela dans le point suivant.
Les avantages du perfectionnisme.
Le perfectionnisme peut avoir certains avantages, tels que la motivation à atteindre des objectifs élevés, la capacité de se concentrer sur les détails, et l’ambition de toujours s’améliorer.
Les perfectionnistes dans leurs quêtes vont toujours vouloir s’améliorer dans le temps.
C’est donc une source de motivation pour l’autoapprentissage, acquérir des compétences et ainsi progresser dans leur vie.
Le perfectionnisme toxique peut également conduire à des résultats de haute qualité dans certaines activités professionnelles, artistiques ou sportives. Cependant, il est crucial de trouver un équilibre entre le désir de bien faire les choses et l’acceptation de ses limites et de ses imperfections.
Etre consciencieux et faire de son mieux est une qualité évolutive, à l’inverse il s’avère primordial de veiller à ce que cela ne se transforme pas en obsession.
Ken FOLLETT a mis 3 ans pour écrire « Les Piliers de la terre ».
Donc on peut dire qu’il est perfectionniste. Et, voici le fruit de ses efforts dans la perfection : le livre publié en 1990 s’est vendu à plusieurs millions d’exemplaires et il se vend encore aujourd’hui.
Cependant, bien que le fait d’essayer de réaliser des performances excellentes soit parfois bénéfique, le perfectionnisme toxique, peut avoir de graves conséquences.
Vous êtes encore là ?
Alors on y va !
Les conséquences : Quels sont les inconvénients d’être perfectionniste ?
«N'ayez pas peur de la perfection, vous ne l'atteindrez jamais !»
Salvador Dali Tweet
Pour arrêter d’être perfectionniste, il est nécessaire d’abandonner l’habitude d’être trop exigeants envers soi-même. Les personnes qui ont le syndrome du perfectionnisme toxique consacrent un temps énorme à réviser et à revérifier leur travail dans les moindres détails afin d’être certain qu’il soit parfait. En conséquence, cela génère une immense perte de temps, et ça freine drastiquement leur activité.
Par exemple, lors de l’achat de mon premier appartement, dans un souci de perfection, et aussi, car j’avais la pression de mon ex-épouse j’ai passé 1 mois entier pour enduire et repeindre une chambre d’enfant. Je voulais éliminer toutes les minuscules bavures même les plus imperceptibles, car je n’admettais pas la moindre imperfection.
Être perfectionniste, c’est chercher constamment à obtenir une performance optimale. Cette attitude extrême les expose aux conséquences négatives liées à une anxiété excessive et à des sentiments persistants d’insatisfaction.
Ainsi, c’est parfois des personnes hyper stressées avec une attitude obsessionnelle néfaste qui pourra les amener au burn-out. Car, ce perfectionnisme toxique, leur fait vivre une pression insoutenable difficilement supportable. Et souvent, ils n’arrivent pas à lâcher-prise.
Et aussi, certains perfectionnistes évitent de parler de leurs problèmes et des situations difficiles de peur de décevoir et montrer des faiblesses.
De plus, être perfectionniste, c’est risquer de bruler vos projets à cause d’objectifs trop élevés pour être atteints. Et en conséquence, c’est comme si l’on vous avait forcés à bouffer du piment rouge, cela engendre des sentiments de colère, de tristesse et de frustration.
Un autre inconvénient sera la difficulté à prendre des décisions, car dans sa recherche de la perfection, le perfectionniste va se focaliser sur tous les minuscules détails qui pourraient entraver son projet et sur toutes les conséquences possibles.
Enfin, à force de devoir tout faire pour être parfait, le perfectionniste s’affaiblit, il épuise son énergie.
Ouch ! mais j’allais oublier…
Ce n’est pas tout, à cause de la peur du jugement des autres, le perfectionniste va s’interdire certaines actions.
Par exemple, par peur de se montrer physiquement il va s’interdire de faire des vidéos sur YouTube.
En conséquence de cette peur de l’échec, la procrastination est l’un des comportements négatifs amenés par le perfectionnisme toxique.
Et la procrastination, ça amène quoi ?
La perte de temps !
Et la perte de temps pour un freelance ça génère quoi ?
La perte d’argent !
Et, résultat des courses, sans argent, le mieux c’est de prendre le « Magic Bus » et d’aller méditer sur les collines de Katmandou…
Maintenant, être complètement dans l’imperfection ce n’est pas mieux non plus.
Voyons cela…
Les dangers de l’imperfectionnisme.
Vous l’avez compris, j’estime que pour un freelance être perfectionniste c’est un défaut considérable et un danger pour la suite de son activité.
Cependant, il ne faut pas non plus tomber dans l’excès inverse, c’est-à-dire dans l’imperfectionnisme lié à la paresse.
Par exemple, vous avez peut-être remarqué qu’aujourd’hui il y a sur la toile de plus en plus d’articles de blog qui se ressemblent et qui ont peu d’intérêt.
L’objectif du blogueur était peut-être : « je vais écrire 3 articles par semaines. »
Puis par manque de temps, il va peut-être faire du « Copier-coller » sur des articles recherchés sur Google en changeant simplement quelques mots dans les phrases.
Ou alors il va utiliser des outils d’intelligence artificielle comme « ChatGPT ».
Mais ce que ce blogueur n’a pas compris, c’est que les internautes sont de plus en plus critiques et méfiants par rapport à toutes les informations à leur disposition.
Ainsi, ils ne resteront pas plus de 10 secondes sur sa page, car ils auront cette impression de déjà vu ailleurs ou d’un contenu sans âme généré par l’intelligence artificielle.
Donc à terme, le temps que ce blogueur aura passé à écrire tous ces articles ou e-mails sera pratiquement du temps perdu.
Et le temps perdu pour un freelance c’est quoi ?
Si vous ne savez pas répondre, c’est que vous avez zappé.
Ce n’est pas bien !
Zéro pointé comme disait Monsieur le prof ConDuBalai.
Maintenant ami freelance, suivez bien et arrêtez de scroller, car la suite va certainement vous aider.
Comment ai-je fait pour arrêter d’être perfectionniste ?
Je me rappelle qu’au début de mon activité 2006, j’ai passé plus de 3 mois pour la réalisation d’un logiciel commandé par une cliente (un peu trop mignonne).
Le devis était d’environ 700 € et j’aurais pu effectuer cette prestation en une semaine.
Ça a fait TILT TILT Game Over !
Là, j’ai tout de suite compris que ce perfectionnisme toxique allait tuer mon activité.
Car le besoin vital du freelance, c’est quoi ?
C’EST LE TEMPS !
Et la perte de temps due au perfectionnisme toxique, c’est démentiel.
J’ai donc décidé de vaincre mon perfectionnisme et de rentrer dans le monde de l’imperfection.
Pour cela, il y a un mantra que je me répète souvent :
« Le regard des autres ça les regarde et l’important c’est le regard que je porte sur moi-même ».
Ainsi, du moment qu’on se fout de ce que les gens peuvent penser, on se donne le droit à l’imperfection.
Au début, mes animations de formations étaient parfois lamentables, j’ai écrit des articles pas terribles, j’ai construit dans mon jardin un escalier épouvantable. J’ai fait tout cela quand même parce que c’est dans l’action et dans l’imperfection que l’on peut trouver sa propre perfection.
Il est essentiel de mettre de côté nos exigences tellement lourdes et parfois très difficiles à atteindre, car vous, comme moi, on est des humains remplis d’erreurs et de défauts.
Alors voici trois stratégies pour vous aider à faire vos premiers pas dans le monde de l’imperfection, vers ce monde beaucoup plus libre et beaucoup plus léger.
Trois étapes pour arrêter d'être perfectionniste
Première étape : La prise de conscience de votre perfectionnisme toxique.
Ce n’est pas toujours évident de se rendre compte de son défaut. Pour cela, regardez ce que font les autres.
Par exemple si un de vos concurrents effectue un travail de qualité en beaucoup moins de temps que vous, analysez votre temps écoulé sur cette même tâche, et recherchez pourquoi vous y avez passé autant de temps. Dans la plupart des cas, vous vous êtes trop attaché aux détails.
Si vous ne prenez pas conscience de votre perfectionnisme toxique, vous ne pourrez jamais le corriger.
Deuxième étape pour arrêter d'être perfectionniste : Montrez-vous tel que vous êtes.
Ouch !
Mais qu’est-ce que ça veut dire ?
Il faut que j’enlève le botox de mes lèvres ?
Il faut que j’arrête d’avoir un sourire de bellâtre ?
Je ne devrais plus hésiter à dire « Connard » au mec qui m’a fait une queue de poisson sur un carrefour ?
C’est ça ?
Non pas tout à fait… (bien que pour « le sourire de bellâtre », ça serait bien de faire un effort).
Voyez-vous, lorsqu’on tente d’être parfait, on investit énormément d’énergie pour camoufler tous nos petits défauts tous nos petits côtés qui ne sont pas dans les normes, toutes nos erreurs…
On ne veut pas que les personnes voient que l’on n’a peut-être pas une culture au top, que l’on a quelques cheveux blancs, que l’on est peut-être un petit peu trop grosse…
On essaie de tout camoufler, mais avez-vous déjà songé à l’énergie que ça vous prend pour cacher vos imperfections, de peur du regard des autres, de ce qu’ils vont penser, de leur jugement, de leurs critiques…
Aujourd’hui, je suis une des personnes, la plus imparfaite que je connaisse. J’ai plein de défauts, je ne suis pas le meilleur père que je souhaiterais être, je ne suis pas le meilleur compagnon que je voudrais être.
Je ne suis pas non plus le meilleur entrepreneur que je désirerais être. Il m’arrive souvent de faire des formations ou je ne suis pas à la hauteur de ce que je voulais offrir. Cependant, en moyenne, j’atteins de très bons résultats.
Je pense que ça part d’abord et avant tout, en se disant les vraies choses.
Se dire : « voilà mes lacunes… » en arrêtant de se voiler la face et de cacher cela (consciemment ou inconsciemment) dans les profondeurs de notre être.
Alors quelles sont ces choses que vous mettez tellement d’énergie à essayer de cacher ?
Est-ce que par exemple, sur les réseaux sociaux, vous essayez de faire des vidéos ou de mettre des photos, de telle manière que tout soit bien, que tout soit parfait ?
Reconnaissez-vous le droit à l’imprécision et n’ayez plus peur de montrer vos petites imperfections.
J’ai visionné avant-hier une vidéo sur Facebook, où l’auteur révélait toutes ses fautes et erreurs monumentales.
Et cette vidéo a reçu un nombre phénoménal de commentaires, et de partages.
Pourquoi ?
Parce que quand on s’octroie le privilège d’être vulnérable, quand on s’accorde le droit à nos imperfections, les gens se reconnaissent.
On est tous humains, alors affirmez vos imperfections, affirmez vos petits défauts.
Troisième chose : Lancez-vous dans des actions imparfaites.
Pour arrêter d’être perfectionniste, donnez-vous le droit de réaliser des actions imparfaites.
Paradoxalement, vous constaterez que c’est le seul moyen d’atteindre votre propre perfection. Parce que lorsqu’on se met à faire des actions imparfaites et qu’on y va de tout cœur, et bien il y a deux choses qui vont se produire :
— Vous allez gagner de l’expérience.
Cette expérience-là va peut-être être douloureuse, éprouvante, difficile pour votre ego, mais souvent ça en vaut la peine.
Lors de ma première formation d’un groupe pendant une semaine, j’ai déçu des gens, j’ai vécu ça comme un échec, mais j’ai empoché de l’expérience.
C’est une question de mathématiques, la première fois je n’étais pas bon, à la deuxième ce n’était pas génial, mais c’était un peu mieux, la troisième fois c’était encore mieux et à la 30ème, j’étais arrivé au top.
C’est arithmétique, plus on le fait, et plus on gagne en savoir-faire.
Et lorsqu’on obtient de l’expérience et de la compétence, on gagne aussi en résilience.
Et ça, ça…
Ça nous fait gagner en confiance.
Et ça, ça…
Ça nous mène au succès.
Je peux vous garantir une chose, si vous ne vous accordez pas le droit de faire des actions imparfaites,
alors…
Vous ne gagnerez jamais d’expérience.
Vous n’améliorerez pas vos compétences.
Vous ne musclerez pas votre résilience.
Et c’est alors impossible de développer votre confiance en vous-même.
Par conséquent, pensez à toutes ces choses et tous ces événements qui vous ont peut-être empêché de réaliser des opérations importantes parce que vous étiez en train de mettre tellement d’énergie dans votre perfectionnisme toxique que vous ne vous êtes pas donné la permission de faire des actions imparfaites.
Voilà, maintenant, vous connaissez la méthode pour arrêter d’être perfectionniste et le concept qui va générer expériences, compétences, résilience…
Et BANG ! …
La confiance qui va vous amener au succès.
Il y a tellement de liberté, il y a tellement de légèreté à vivre cela que c’est ce que je vous souhaite du plus profond de mon cœur.
Conclusion
Arrêter d’être perfectionniste est essentiel pour une vie équilibrée et satisfaisante. Le perfectionnisme toxique peut conduire à la dépression, à l’anxiété et à un sentiment d’échec constant.
En adoptant une approche plus flexible et réaliste, vous libérez votre énergie pour des tâches plus productives et enrichissantes. Ainsi, apprendre à accepter l’imperfection peut transformer votre vision de la vie et améliorer votre bien-être général.
Pour ceux qui luttent contre ce trait, des ressources comme des livres, des formations ou le coaching peuvent offrir un soutien précieux. En fin de compte, se concentrer sur le progrès plutôt que sur la perfection mène à une plus grande satisfaction personnelle et professionnelle.
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Jean-Paul RIVES
Auteur : Jean-Paul RIVES
Passionné d’organisation, je me suis lancé il y a plus de 17 ans maintenant en tant que freelance consultant et j’ai conseillé avec succés de nombreuses PME et TPE.
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Auteur : Jean-Paul RIVES site : https://azl.mysoftcompagnon.fr/
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