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Last Updated on 20/08/2025 by Jean-Paul RIVES

Asseyez-vous. Lâchez la souris. Écoutez bien.

Chaque mois où vous refusez de déléguer, c’est l’équivalent de deux billets de 500 € que vous déchirez… et 30 heures de votre vie que vous jetez à la poubelle.

Combien de temps allez-vous continuer ?

Et, suivant l’INSEE, 63 % des freelances travaillent plus de 45 h par semaine.

Pourquoi ?

Vous essayez de tout gérer.
Alors, vous courez après le temps.

Vous pensez être indispensable ?
C’est faux. Et vous le savez.

La vérité ?
Vous devenez esclave de votre activité.
Vous êtes votre propre prisonnier.

La clé pour booster votre efficacité ? C’est la délégation.

Pas celle qu’on apprend dans les livres de management.
La vraie. Celle qui vous libère 10 heures par semaine.
Celle qui multiplie vos résultats.
Celle qui vous rend enfin utile là où vous êtes irremplaçable.

Vous voulez développer votre activité sans y laisser votre santé ?
Vous rêvez d’alléger vos journées sans sacrifier vos résultats ?

Alors il y a une vérité que vous devez accepter : vous devez apprendre à déléguer.

Et pas demain. Aujourd’hui.
Car chaque jour de retard vous coûte plus que vous ne l’imaginez : ce sont peut-être 3 heures perdues à gérer l’administratif, 2 clients que vous n’avez pas eu le temps de rappeler, ou une offre que vous n’avez pas lancée faute de disponibilité.

Résultat : fatigue accumulée, opportunités ratées, croissance freinée.

Savoir déléguer, ce n’est pas une option. C’est un basculement.

Vous avez deux choix :
Continuer à vous épuiser, à faire des micro-tâches sans valeur.
Ou apprendre à déléguer comme un pro et redevenir le stratège de votre business.

Je vais vous montrer comment. Brutalement. Efficacement. Et avec des résultats concrets.

 

« Si vous voulez aller vite, partez seul. Si vous voulez aller loin, partez accompagné. »

Pourquoi c'est important de savoir déléguer quand on est freelance ?

Travailler seul, c’est grisant.

On prend toutes les décisions. On garde le contrôle. On fait tout à notre sauce.

Mais à un moment, ça coince.
Pas parce que vous êtes mauvais.
Parce que vous êtes trop seul.

Vous passez vos journées à jongler entre prospection, livrables, compta, support client…
Et vous vous dites : « c’est normal, ça fait partie du jeu. »

Erreur.
Si vous voulez gagner plus sans finir cramé, vous devez apprendre à déléguer.
Pas tout. Pas n’importe comment. Mais stratégiquement.

Déléguer, ce n’est pas perdre la main.
C’est reprendre du souffle.
C’est gagner du temps travail et vous recentrer sur ce qui crée de la valeur.
C’est dire non au perfectionnisme qui vous enferme dans le micromanagement, et oui à la croissance.
C’est utiliser une matrice de délégation pour voir clair dans vos priorités et externaliser les tâches à faible valeur ajoutée.

Chaque minute que vous libérez, c’est une minute en plus pour vendre, créer, respirer.

Et oui, au début ça fait peur.
Mais le vrai danger, c’est d’attendre trop longtemps.
À vouloir tout faire, on finit par tout ralentir.

Productivité : Vous voulez aller plus vite ? Déléguez.

Savoir déléguer, c’est une des clés de la productivité.
Moins de tâches = plus de temps pour ce qui rapporte.
Créer, vendre, développer. C’est là que vous devez être.

Vous voulez monter en compétence ? Déléguez.

Parce que déléguer, c’est pas juste filer un truc à faire.
C’est apprendre à manager. À structurer. À décider vite.

En fait, savoir déléguer, c’est une compétence.
Et, cette compétence permet de performer dans votre activité.

Vous manquez de confiance ? Déléguez.

C’est en lâchant un peu de contrôle que vous en gagnez.
Au début, ça tremble. Ensuite, ça se solidifie.

Réduisez le stress : vous êtes sous pression ? Déléguez.

Travailler seul, c’est pas un concours de souffrance.
Moins de charges = plus de clarté. Plus d’énergie.

Quels sont les freins psychologiques à la délégation.

Pourquoi vous ne déléguez pas (et pourquoi c’est destructeur) ?

« Personne ne fera aussi bien que moi »

Mensonge.

Vous n’êtes pas exceptionnel. Vous êtes juste habitué à faire les choses vous-même.
L’ego déguisé en perfectionnisme, c’est le poison de la délégation.

C’est ce perfectionnisme toxique qui vous pousse à tomber dans le micromanagement. Résultat ? Vous bloquez vos prestataires, vous vous épuisez, et votre business stagne.

« Je n’ai pas le temps d’expliquer »

Alors vous préférez perdre 4 heures chaque semaine à répéter la même tâche.
C’est comme refuser d’enseigner la nage à quelqu’un pour continuer à le porter dans l’eau.

La vérité ? Vous n’avez pas besoin d’un roman. Un cahier des charges simple, un briefing précis, et la mission roule. Mieux vaut investir 30 minutes à structurer un processus que perdre des dizaines d’heures à jouer les esclaves.

« Je veux garder le contrôle »

Contrôler, c’est bien.
Micro-manager, c’est toxique.
Et au fond, ce que vous refusez, ce n’est pas de déléguer.
C’est de vous faire confiance. À vous. À votre système.

« Je n’ai pas la trésorerie nécessaire »

Oui, je sais, facile à dire « il faut savoir déléguer », mais quand le coffre est vide comment on fait ?

Sans trésorerie, ce n’est pas évident de déléguer. Mais il existe des solutions.
Allez voir dans cet article la section « Comment déléguer efficacement avec peu de budgets  ? ».

« J’ai peur que ça foire. »

Alors vous faites tout, tout seul.
Et c’est là que ça foire vraiment : surcharge, stress, erreurs.

La peur est normale.

La solution, c’est le lâcher prise progressif : testez une tâche simple, appliquez la méthode FFF (Faire, Faire-avec, Faire-faire), et vous verrez que la confiance se construit au fil des résultats.

Commencez petit.
Une tâche simple. Un brief clair. Un test.
Puis ajustez. Puis recommencez.

Savoir déléguer, c’est un muscle. Plus vous l’utilisez, plus cette compétence devient solide.
Et à la fin, vous gardez le contrôle. Mais sans le poids.

Et enfin le frein le plus perfide, c’est celui qu’on ne perçoit même pas comme un frein.

« J’adore faire ça. J’y prends plaisir. Pourquoi le déléguer ? »

Mais cette passion devient vite une cage dorée.
Vous vous accrochez à vos tâches techniques… pendant que votre business stagne.

Aimer faire ne veut pas dire devoir tout faire.
Votre job, ce n’est pas d’être occupé. C’est de faire avancer la machine.

Gardez ce qui vous éclate et déléguez le reste.
Vous verrez : on peut aimer… et lâcher prise.

Quels sont les avantages de savoir déléguer pour un freelance ?

Savoir déléguer, c’est arrêter de vous saboter (et vous libérer de l’enfer des tâches inutiles)

Si vous êtes freelance ou solopreneur, vous portez tout sur vos épaules. Tout !
Et, c’est une erreur fatale.

Gérer la technique, répondre aux mails, créer du contenu, facturer, relancer…
Ce n’est pas du leadership. C’est de l’épuisement déguisé en productivité. Et c’est le chemin rapide vers le burn-out ou le plafonnement.

Savoir déléguer, c’est dire stop à l’esclavage moderne du « je fais tout moi-même ». C’est faire le choix stratégique de libérer votre cerveau, votre temps, votre énergie. C’est retrouver de l’oxygène dans vos journées. Et c’est ce qui vous permet de passer de simple exécutant à vrai chef d’orchestre.

En apprenant à savoir déléguer intelligemment, vous reprenez votre place là où vous êtes irremplaçable.

Vous redevenez décideur, pas exécutant.
Vous libérez votre cerveau pour les 20 % de tâches qui produisent 80 % du résultat.

Vous respirez enfin. Mentalement et stratégiquement.

Un de mes clients, consultant freelance passait plus de 10 heures par semaine à gérer ses factures, les relances, les réglements clients et les frais.

Suite à mes conseils, il a délégué cette tâche. Et, il a utilisé ce temps pour développer une offre premium.

Résultat ?

Il a doublé son chiffre d’affaires en six mois. Il n’avait rien changé à son expertise, seulement à la façon d’utiliser son temps.

Quelles sont les tâches à déléguer en priorité (si vous voulez respirer)

Voici ce qui vous pompe votre temps et que vous pouvez externaliser sans douleur :

  • La comptabilité
  • Gestion des réseaux sociaux (planification, visuels, réponses)
  • Facturation, devis, relances clients
  • SAV et réponses types
  • Maintenance de votre site, sauvegardes, mises à jour
  • Rédaction SEO ou relecture d’articles de blog/newsletters
  • Mise en page, création de visuels Canva
  • Montage vidéo simple (réels, stories, formats courts)
  • Saisie et organisation de données dans un CRM

Ce que pouvez faire maintenant :

Savoir déléguer c’est avant tout, identifiez les voleurs de temps.
Prenez un papier. Listez tout ce que vous avez fait cette semaine.
Surlignez en rouge ce qui aurait pu être délégué.

Chaque heure économisée ici, c’est une heure en plus pour vendre, créer ou développer votre vision. Et surtout : pour reprendre la maîtrise de votre agenda et enfin souffler.

Souvent, vous verrez que le travail est aussi bien fait (voire mieux) que si vous le faisiez vous-même. C’est ça, savoir déléguer efficacement.

Qu'est-ce que vous ne devez jamais déléguer ?

  • Votre vision stratégique
  • Vos relations commerciales
  • Votre créativité, votre ton, votre image
  • Votre positionnement marketing
  • Vos offres principales et leur évolution
  • La direction éditoriale de votre contenu
  • Tout ce qui fait votre ADN — votre manière unique de communiquer.
  • Votre style d’écriture, vos valeurs fondamentales, votre ton de voix, votre approche métier — reste entre vos mains. Toujours.

Par exemple, si vous êtes coach, c’est à vous de définir votre méthode, votre ton, votre positionnement. Personne d’autre ne peut capter l’essence de votre message à votre place.

Un bon prestataire peut vous épauler, mais il ne doit jamais remplacer votre identité.

Il peut exécuter, mais c’est à vous de diriger.

Là encore, savoir déléguer, c’est aussi savoir garder le contrôle sur ce qui compte.

À qui déléguer (sans vous faire plumer) ?

Savoir déléguer, c’est aussi apprendre à trouver la bonne personne.
Compétente. Disponible. Motivante.
Pas la moins chère.
La plus fiable.

Freelance — assistant virtuel :

Parfait pour commencer. Flexible, sans engagement, vous testez, vous ajustez. Vous payez à la mission. Vous pouvez monter en puissance en fonction des résultats et de votre budget.

C’est la solution idéale pour débuter la délégation à moindre risque.

Plateformes freelances :

  • Malt (France)
  • Crème de la Crème (premium)
  • Fiverr / Upwork (international)

Prenez le temps de tester, de briefer, de valider.

Utilisez par exemple une méthode simple comme le test 30/30 : donnez au prestataire une tâche à réaliser en 30 minutes, puis prenez 30 minutes pour évaluer la qualité du livrable, le respect des consignes et la communication.

Cela vous permet de valider rapidement son efficacité sans gros engagement.

Ne déléguez jamais dans l’urgence. Commencez par une tâche courte et simple.

Privilégiez les profils avec des avis vérifiés, des exemples concrets de livrables et une communication fluide. Bref, soyez rigoureux et apprenez à savoir déléguer intelligemment.

Et souvenez-vous : un bon stratège fixe une règle 1:3:1 (1 problème = 3 options proposées = 1 décision validée). C’est ça, garder le contrôle équilibré sans tomber dans le piège du micromanagement.

Embauche ?

Possible, mais plus engageant
Si vous voulez construire une équipe interne, soyez prêt à manager, former et cadrer.

Cela demande des process solides, des outils collaboratifs, de la trésorerie (en France, un employé payé 2000€ par mois vous coûtera minimum 4000€ / mois) et surtout une vraie posture de dirigeant.

Mais c’est aussi un levier pour créer une entreprise qui tourne vraiment sans vous à long terme. Là encore, il s’agit de savoir déléguer avec méthode.

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Un plan d’action complet et concret à appliquer dès aujourd’hui pour faire décoller votre activité… C’est si évident et tellement différent de ce que vous voyez partout… que vous n’en reviendrez pas.

Quelles sont les 9 étapes de la délégation ?

Savoir déléguer, c’est pas balancer une tâche à quelqu’un en croisant les doigts.

Faire comme ça, c’est foncer droit dans le mur.

Résultat ?

Travail mal fait, temps perdu, confiance explosée.

Voici les 9 vraies étapes pour déléguer sans vous arracher les cheveux :

1. Choisissez la bonne tâche

Commencez petit. Déléguez le chronophage, pas le stratégique.

2. Briefez au scalpel : soyez clair sur le résultat attendu

Pas de flou. Pas de « tu vois le genre ». Dites exactement ce que vous voulez obtenir.

Par exemple, pour un assistant administratif :

  • Rédigez une fiche mission.
  • Pour chaque tâche (facturation client, frais …) rédigez une procédure détaillée.
  • Indiquez le détail des objectifs à atteindre (livrables précis, outils imposés, deadline fermée).

Pas besoin d’un manuel de 20 pages.
Un brief =

  • Ce que j’attends
  • Pour quand ?
  • Pourquoi c’est important ?
  • Comment je mesure ?

Si vous êtes flou, vous serez déçu.

Ce que vous devez bâtir, c’est un cahier des charges clair. Pas une usine à gaz. Une fiche mission qui sert de processus et qui peut évoluer.

3. Trouvez la bonne personne.

Pas le moins cher. Le plus fiable. Celui qui comprend vite et bien.

4. Donnez du contexte.

Expliquez pourquoi cette tâche compte. Donnez du sens. On bosse mieux quand on comprend l’objectif.

5. Fixez un délai précis.

Pas de « dès que possible ». Donnez une date. Et tenez-la.

6. Explications précises.

Montrez par l’exemple :

En 5 minutes, expliquez comment programmer un post LinkedIn via Buffer. Cela évite les malentendus.

7. Utilisez les bons outils.

Utilisez Loom pour filmer une démonstration.

AURELIS ou ClickUp pour effectuer le suivi des tâches, Slack pour la communication rapide.

Plus c’est fluide, plus c’est efficace.

Une  Checklist claire pour réaliser les procédures détaillées à donner à vos exécutants.

Docs, accès, modèles…
Donnez-lui de quoi bosser. Sinon c’est du sabotage.

7. Prévoyez des points de contrôle.

Fixez un planning hebdomadaire pour l’accompagnement des tâches déléguées.

Faites un bilan par visio ou email avec votre sous-traitant.

Exigez un rapport d’activité toutes les semaines.

Exemple : chaque vendredi, vous faites le tour des contenus produits, des bugs techniques, ou du service client.

8. Donnez du feedback (le vrai).

Pas juste « OK ». Dites ce qui était bien. Ce qui peut être amélioré. Faites progresser.

Un « merci » sincère.
Une critique constructive.
Un encouragement.
Et parfois, un recadrage sec.

C’est comme ça qu’on bâtit une équipe qui tient debout.

Soyez factuel, constructif, clair. Un bon feedback construit un prestataire loyal et compétent. C’est aussi une compétence clé pour savoir déléguer durablement.

9. Valorisez le résultat.

Un merci. Une reconnaissance. Ça coûte rien. Et ça fidélise les bons.

Savoir déléguer son travail, c’est pas perdre du pouvoir.
C’est en gagner.

Mais seulement si vous le faites proprement.

Savoir déléguer son travail : Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ?

Vouloir tout déléguer d’un coup : testez d’abord sur une mission simple. Commencez par une tâche peu risquée pour roder vos réflexes.

Déléguer ce que vous détestez au lieu de ce qui vous bloque.   

Ne pas prévoir de budget : calculez votre taux horaire et comparez.
Ce que vous déléguez à 30 €/h vous permet de libérer du temps que vous pouvez facturer 90 €/h.
C’est un gain, pas une perte.

Choisir le moins cher : préférez le bon plutôt que le low cost foireux.
Un prestataire mal choisi vous fera perdre du temps, de l’argent et de l’énergie.Mieux vaut payer plus pour être serein.

Être flou, puis râler : Vous devez fixer un objectif clair et précis avec une procédure à suivre.

Ne pas donner les moyens : Vous devez expliquer clairement et donner les bons outils.
Par exemple, si vous demandez de faire un suivi comptable, mais que vous ne fournissez pas un logiciel de comptabilité (un PC aussi ce serait bien) ça sera difficile.

Ne pas faire de suivi : Ne pas former, ne pas contrôler, ne pas corriger, ne pas remercier.
S’il y a un manque de communication, soyez-en sûr, ça va foirer !

Savoir déléguer, c’est une compétence. Pas un espoir.

Résoudre les problèmes à leur place : « Chef, quand j’utilise cette fonction j’ai une erreur ? »
Souvent, on peut avoir tendance à se pencher sur le problème. Mais la personne est là pour nous aider pas pour poser des problèmes supplémentaires.

Alors, arrêtez de résoudre les problèmes à leur place

Étude de cas (réel) : comment j’ai gagné 10 heures par semaine en déléguant ?

Au début de mon activité (JPR Soft), pendant des mois, je faisais tout moi-même.

Comptabilité, commercial, développement de logiciels, articles, création d’offres. Suivi client, etc.

Un jour, j’ai explosé.
Bien que je connaisse parfaitement la comptabilité, j’ai externalisé cette partie chez un expert-comptable.

Ensuite, J’ai listé 9 tâches chronophages à faible valeur.
J’ai formé une freelance en 5 jours.
Elle gérait 80 % de mes tâches administratives.

Résultat ?
J’ai gagné environ 40 heures par mois.
Je créais plus, je vendais mieux, je dormais la nuit. Et mon chiffre d’affaires a augmenté de 45 % en trois mois.

Compte tenu du coût de cette sous-traitance, mes revenus n’ont pas énormément augmenté, mais mon job est devenu moins stressant et beaucoup plus cool.

Comment déléguer efficacement avec peu de budgets ?

Arrêtez l’hémorragie : déléguez même quand la trésorerie crie famine
Voici quelques solutions :

  1. Effacez le futile.
    Ouvrez votre agenda.
    Listez vos tâches quotidiennes. Barrage en rouge sur tout ce qui n’apporte ni clients ni cash.
    Premier gain : des heures libérées sans dépenser un centime.

  2. Automatisation : laissez les robots bosser la nuit.
    Zapier ou Make : formules free pour relier mails, factures, CRM.
    ChatGPT relié à Make et vous automatisez vos contenus et votre communication sur les réseaux sociaux.
    Google Workspace + macros : devis et relances automatiques.
    Chaque automatisation efface des minutes répétitives… tous les jours.

  3. Troquez vos talents.
    Offrez une heure de coaching pour deux heures d’admin.

  4. Testez pour 5 €.
    Logo, transcription, data-entry sur ComeUp. Budget café, retour immédiat.

  5. Signez un apprenti subventionné.
    L’État verse jusqu’à 5 000 €.
    Vous versez un petit montant mensuel. Vous formez. Il produit.

  6. Pariez sur le résultat.
    Freelance commercial junior payé au lead ou au CA (% commission).

Conclusion : La compétence en délégation, ce n’est pas une option (si vous voulez passer au niveau supérieur)

Savoir déléguer intelligemment, c’est la compétence qui fait passer de freelance à chef d’entreprise.
De manager fatigué à leader inspirant.
De pompier du quotidien à bâtisseur d’avenir.

Et cela ne s’arrête pas à vos tâches pro. Déléguer, c’est aussi penser à votre vie personnelle : ménage, administratif, courses… Libérer votre temps de cerveau.
Vous n’êtes pas payé pour plier du linge. Vous êtes payé pour créer de la valeur.
Déléguer, c’est externaliser le futile pour garder toute votre énergie sur l’essentiel.

Vous n’êtes pas un couteau suisse. Vous êtes un stratège. Un créateur de valeur.

Et, comme le disait Steve Jobs : « Se concentrer, ce n’est pas dire oui à ce que vous voulez faire. C’est dire non à cent autres bonnes idées. »

Ainsi, les stratèges ne passent pas leurs journées à envoyer les frais au comptable, à compresser des PDF ou à refaire une bannière.

Alors maintenant, posez-vous la seule question qui compte :
« Qu’est-ce que je peux déléguer cette semaine ? »

Commencez petit. Mais commencez maintenant.
Ne repoussez pas encore. Ouvrez votre agenda, et bloquez 1 heure cette semaine pour déléguer une tâche concrète. Votre activité vous dira merci. Et votre cerveau aussi.

Mini plan d’action pour franchir le cap :

  • 1. Listez les tâches que vous redoutez ou répétez chaque semaine.
  • 2. Sélectionnez-en UNE à déléguer dans les 7 jours.
  • 3. Choisissez un prestataire (via une plateforme freelance ou votre réseau).
  • 4. Rédigez un brief simple et testez avec une mission courte.
  • 5. Faites le point après livraison. Ajustez, recommencez, déléguez plus.

« Arrêtez de croire que vous êtes indispensable à tout. Le vrai pouvoir, c’est de savoir se rendre non essentiel… pour se concentrer sur l’essentiel. »

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À votre réussite…

Jean-Paul RIVES

Sur le même sujet : ressources intéressantes :

Livre : « L’art de bien s’entourer »
Le coach entrepreneurial le plus réputé au monde et son co-auteur psychologue révèlent la formule gagnante.

Vidéo : « Pourquoi apprendre à déléguer ? »

FAQ – Tout ce que vous devez savoir pour savoir déléguer efficacement.

Quelles tâches déléguer en priorité quand on est freelance ?

Commencez par déléguer les tâches répétitives et chronophages :

gestion des réseaux sociaux, facturation, relances clients, rédaction SEO, support client de niveau 1.

Ce sont celles qui prennent du temps sans valeur ajoutée directe. En les confiant à un freelance ou un assistant virtuel, vous libérez votre agenda pour les tâches à forte valeur (vente, stratégie, création).

Comment savoir si je suis prêt à déléguer ?

Si vous travaillez plus de 40 h/semaine, que certaines tâches vous épuisent ou que vous repoussez des missions importantes par manque de temps, c’est le moment.

La vraie question n’est pas « suis-je prêt à déléguer ? », mais plutôt « puis-je continuer sans déléguer sans risquer de tout cramer ? ».

Est-ce que déléguer coûte cher ?

 Déléguer vous fait économiser de l’argent si vous vendez votre temps plus cher que vous ne payez celui de votre prestataire.

À partir de 20–30 €/h pour un bon assistant freelance, vous pouvez gagner 2 à 3 fois plus en vous concentrant sur votre cœur de métier.

Par contre si vous voulez embaucher un salarié à 2000 € net, compte tenu des charges salariales, des charges patronales, des temps de congé et des frais annexes (bureau, matériel, déplacements…) comptez en moyenne 4500 € mensuel.

Pourquoi ai-je du mal à déléguer ?

Parce que vous avez peur. Peur que ce soit mal fait, peur de perdre le contrôle, peur de ne pas rentabiliser.

C’est humain.

Car savoir déléguer, c’est une compétence. Plus vous pratiquez, plus vous prenez confiance. Et plus votre business devient fluide et rentable.

Quelles erreurs commettent les freelances quand ils commencent à déléguer ?

La pire erreur, c’est le perfectionnisme. En voulant tout contrôler, vous tombez dans le micromanagement. Résultat : au lieu de gagner du temps, vous en perdez. La clé pour savoir déléguer, c’est d’accepter qu’un travail livré à 80 % de parfait est souvent bien plus rentable que votre 100 % personnel.

Qu’est-ce qu’une matrice de délégation et comment l’utiliser ?

Une matrice de délégation est un outil simple qui vous aide à décider ce que vous gardez, ce que vous externalisez, et ce que vous éliminez.

En clair : en un coup d’œil, vous voyez ce qui mérite votre cerveau… et ce que vous devez confier à un autre.

Si vous voulez vraiment savoir déléguer comme un pro, commencez par cartographier vos tâches : celles qui rapportent restent chez vous, les autres partent chez quelqu’un d’autre.

Comment déléguer sans perdre le contrôle ?

Beaucoup confondent délégation et abandon.
Faux.
Savoir déléguer, c’est garder le cap tout en donnant de l’autonomie. Utilisez un cahier des charges clair et appliquez la règle 1:3:1 : un problème = trois solutions proposées = une décision que vous validez.

Résultat : vous gardez le pouvoir, sans tomber dans le piège du micromanagement.

Quelle méthode appliquer pour déléguer pas à pas ?

La méthode FFF (Faire / Faire-avec / Faire-faire) est parfaite pour apprendre à savoir déléguer sans stresser.

Vous montrez, vous co-réalisez, puis vous laissez exécuter. Chaque étape construit la confiance. Et, vous voyez que non, tout ne va pas « foirer » dès que vous lâchez la main.

Auteur : Jean-Paul RIVES 

Attention : ce contenu n’est pas libre de droits (Voir plus bas).

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